Economie de la fonctionnalité et de la coopération (EFC)

Dernière modification le 15/03/2024 - 11:47
Economie de la fonctionnalité et de la coopération (EFC)

Le service plutôt que le produit… les usages plutôt que les fonctions… la conscience plutôt que l’inconscience.

L’EFC repose sur 4 grands principes :

1. L’économie de la fonctionnalité et de la coopération est intimement liée au développement durable. Elle vise à mieux prendre en charge les externalités environnementales et sociales induites ou subies par le modèle initial. De ce fait, elle génère une plus-value territoriale forte.

2. L’économie de la fonctionnalité et de la coopération vise à passer d’une dynamique de performance industrielle centrée sur les ressources matérielles à une dynamique de contribution servicielle centrée sur les ressources immatérielles. Elle met ainsi la valeur d’usage au cœur de son modèle, puisque c’est le service rendu par la solution qui fonde sa performance. Elle présuppose ainsi une nouvelle gouvernance de l’innovation, associant non seulement les bénéficiaires de la solution mais également ses coproducteurs.

3. L’EFC vise à mettre en œuvre l’effet ciseau, poursuivant l’objectif de décroissance du facteur matériel compensée par une croissance du facteur immatériel dans les processus de création et de production de la valeur ainsi que de métamorphose de la valeur d’usage en valeur monétaire.

4. Parce que les ressources immatérielles sont les ressources stratégiques clés dans l’économie de la fonctionnalité et de la coopération, ces modèles génèrent un impact positif sur la qualité du travail et sur les modes d’organisation du travail, à travers notamment – mais non exclusivement – la promotion de la coopération.

1 • LES ENJEUX
Dans un contexte de crise économique et de concurrence mondialisée, la volatilité des cours des matières premières et des énergies fossiles vient ajouter aux difficultés des entreprises. S’approvisionner en matières premières à un coût raisonnable devient déjà, dans certains secteurs d’activités, un enjeu presque aussi critique que celui d’accéder aux marchés pour écouler la production.
La pérennité des entreprises devient, dans ce contexte, un sujet majeur de préoccupation pour la vitalité des territoires et leur attractivité. Sauvegarder les emplois existants, en créer de nouveaux qui ne soient pas ou peu délocalisables est un enjeu des politiques territoriales de développement économique.
Pour les entreprises, l’enjeu de court terme est de trouver des relais permettant de poursuivre leur développement, de stabiliser leur chaîne de valeur et de fidéliser leur clientèle. Il s’agit donc de se différencier en innovant. Mais l’innovation peut prendre des formes différentes de celles qui sont envisagées classiquement. Sans négliger l’innovation technologique et celle qui concerne la conception du produit lui-même, c’est souvent par l’innovation « autour » du produit, c’est-à-dire sur les scénarios de commercialisation et d’utilisation et sur les services associés au produit, qu’il sera le plus efficace d’avancer pour se différencier.
L’instabilité économique de ces dernières années questionne aussi largement la visibilité stratégique des entreprises et leur capacité d’anticipation, ce qui est une difficulté majeure lorsque le « carnet de commandes » fluctue au gré des indices et de la conjoncture. Dans ce contexte, innover, c’est aussi rechercher les moyens de renforcer sa visibilité et sinon de stabiliser des cycles économiques extérieurs au périmètre d’action de l’entreprise, du moins chercher à être capable d’en amortir les chocs.
Enfin, un autre enjeu et peut-être pas le moindre à moyen terme, est celui de la maximisation de la valeur créée par unité d’énergie ou de matière consommée. En effet, si la productivité du travail et du capital n’a cessé de croître depuis plus d’un siècle, celle des matières premières et de l’énergie a jusqu’ici stagné. Il est vrai que ces dernières ne constituaient pas forcément un enjeu de par leur abondance relative. Mais ce n’est plus le cas aujourd’hui. La volatilité des cours du brut ou des terres rares doit être vue comme un symptôme d’un bouleversement profond de nos économies et de mutations qui concerneront bientôt toutes les entreprises. Anticiper ces mutations et se mobiliser pour répondre aux défis économiques, énergétiques et environnementaux sont aujourd’hui des nécessités. Toutefois, au-delà des contraintes, nous avons préféré voir les opportunités : celles de créer plus de valeur et de se différencier en innovant dans les modèles économiques et celle d’amortir les cycles économiques.

2 • DÉFINITION DE L’ÉCONOMIE DE FONCTIONNALITÉ
Bien que nous disposions aujourd’hui de plusieurs décennies de retour sur expérience, toutefois limité à quelques exemples emblématiques, l’économie de fonctionnalité reste un concept émergent ; il est donc normal que sa définition ne soit pas entièrement stabilisée. Cependant, un certain nombre de critères font consensus. Nous nous y tiendrons dans la définition qui va suivre et pour l’ensemble de ce guide.
L’économie de fonctionnalité peut être définie comme un modèle économique reposant sur la vente de solutions, incluant produits et services, plutôt que sur la vente du bien lui-même. On se concentre donc sur les fonctionnalités rendues possibles par l’usage du bien. Il n’y a pas de transfert de propriété du bien, celui-ci restant la propriété de son fabricant tout au long de son cycle de vie.
Pour élargir le champ des possibilités, nous considérerons que l’économie de fonctionnalité peut aussi, dans certains cas, ne pas être limitée au fabricant mais être appliquée à l’importateur, à l’installateur ou tout intermédiaire susceptible de gérer la relation avec le client final et d’influer significativement sur la conception de la solution, celle-ci reposant sur un produit, un service ou toute combinaison des deux.
Selon ce modèle, la valeur d’un produit, aux yeux de l’usager, réside dans les bénéfices qu’il retire de son utilisation et non dans la possession du produit en question. Cette valeur est aussi liée au coût global (ensemble des dépenses relatives à un bien ou un service, internes et externes, d’investissement, d’exploitation, de maintenance, d’entretien et de remplacement des biens ou équipements, durant l’ensemble du cycle de vie), l’optimisation de ce dernier maximisant la valeur créée. La production et la vente des biens, les technologies et l’énergie mises en oeuvre lors de leur utilisation ne sont plus dès lors considérées que comme des moyens d’assurer la satisfaction des besoins des utilisateurs. Dans une telle optique, la valeur économique du produit ne repose donc plus sur sa valeur d’échange, mais sur sa valeur d’usage.

3 • BÉNÉFICES ATTENDUS
L’économie de fonctionnalité bénéficie, directement et indirectement, à la fois aux fabricants, aux clients et aux utilisateurs et à la société dans son ensemble.
Les principaux bénéfices que peut attendre une entreprise productrice de biens lors d’un passage à l’économie de fonctionnalité sont les suivants :

POUR LE FABRICANT
> Une moindre dépendance vis-à-vis de ses approvisionnements matière. En effet, pour une entreprise, le fait de rester propriétaire du produit pendant l’ensemble de son cycle de vie induit qu’elle reste propriétaire des composants de ses produits, ainsi bien sûr que des constituants de base (matières plastiques, métaux, etc.). Dans un contexte de préoccupation croissante sur la disponibilité des ressources, le fait de maîtriser le cycle de ses ressources peut être un avantage en minimisant le risque de rupture d’approvisionnement. Par ailleurs, l’incitation forte qu’induit l’économie de fonctionnalité à écoconcevoir les produits pour en allonger la durée de vie et en faciliter la maintenance permet d’envisager des réductions de coûts et une meilleure rationalisation des opérations de production, de maintenance et de fin de vie.
> Une meilleure gestion de la relation client. Conquérir de nouveaux clients est une opération délicate et coûteuse alors que conserver des clients en entretenant avec eux une relation suivie et personnalisée, centrée sur la satisfaction de leurs besoins est à la fois plus sécurisant pour les deux parties, moins « chronophage » et quatre à cinq fois moins coûteux si l’on en croit une étude réalisée par Ernst&Young dans le cadre du Grenelle environnement (« L’économie de fonctionnalité, un plus pour l’environnement ? » Grenelle – Chantier n° 31 – 21 octobre 2008). La vente de produits suppose une activité permanente de prospection et de conquête de nouveaux clients, sauf à miser sur l’obsolescence programmée de vos produits, démarche à la fois peu responsable sur les plans sociaux et environnementaux et risquée en termes d’image et de réputation. De plus, chaque vente est remise en concurrence lors du renouvellement après quelques années d’usage. Par contraste, la vente d’ « unités de service » – des photocopies plutôt que des photocopieurs par exemple – suppose l’établissement de relations contractuelles de plus longue durée, souvent sur la base d’engagement réciproque pluriannuel. En se concentrant sur la satisfaction de sa clientèle acquise et en misant sur une différenciation accrue de son offre, l’entreprise s’assure une réputation positive et peut espérer une meilleure visibilité sur son activité future.
> L’amortissement des cycles économiques. La vente de produits est fortement impactée par les variations des cycles économiques. En période de récession, les clients ont tendance à différer leurs achats et à faire jouer au maximum une logique de « moins disant » dans leur sélection de fournisseurs. Une entreprise qui adopterait l’économie de fonctionnalité verra ses revenus lissés puisqu’elle percevra des loyers ou des revenus liés à une facturation à l’usage dont les variations sont beaucoup moins sensibles aux cycles économiques.
> Une meilleure valorisation de l’offre, incluant l’ensemble de ces aspects, notamment technologiques, mais aussi l’organisation, les savoir-faire, la logistique, etc. Dans un certain nombre de cas, l’économie de fonctionnalité permet de contourner la barrière du prix psychologique en remplaçant un produit « one shot » par un service « tout intégré ».
A côté de ces avantages directs de l‘économie de fonctionnalité, on peut aussi mentionner la possibilité de « stocker du travail », à travers les opérations de reconditionnement des équipements ou de recyclage de leurs constituants qui peuvent être planifiées de manière à amortir des cycles d’activité saisonniers ou conjoncturels. Par exemple, une entreprise qui louerait des bâches et chapiteaux pour des salons ou réceptions pourrait planifier l’entretien de son matériel ou le recyclage des bâches et des armatures détériorées pendant les périodes creuses d’activité, évitant ainsi le recours au chômage technique ou au travail intérimaire.
Plus largement, on peut constater que l’économie de fonctionnalité permet une meilleure prise en compte de la durée que ce soit dans la relation avec le client ou dans le cycle de vie du produit, ce qui va dans le sens d’une stabilisation de la création de valeur pour l’entreprise.

POUR LE CLIENT
Que ce soit en B2C (vente aux particuliers) ou en B2B (vente aux professionnels), l’économie de fonctionnalité apporte aussi des avantages aux clients.
Pour la clientèle professionnelle, il peut être financièrement intéressant de payer les équipements à l’usage plutôt que d’avoir à les amortir sur des durées relativement longues. L’économie de fonctionnalité permet aussi d’avoir la garantie que le produit support du service sera adapté à l’usage qu’on en fera et que sa configuration pourra évoluer dans le cadre du contrat pour s’ajuster aux variations d’activité. Enfin, l’approche « tout compris », incluant la maintenance, l’assurance et les services d’accompagnement, est une garantie de disponibilité opérationnelle parfois stratégique pour l’entreprise bénéficiaire et de stabilité des coûts, puisque ce modèle évite les « mauvaises surprises » en cas de panne ou dysfonctionnement.

POUR LES PARTICULIERS
En vente aux particuliers, une tendance forte actuellement pour certains produits consiste à privilégier l’accès à l’usage plutôt que leur possession. Les motivations des clients sont variées et vont du souhait de se libérer des contraintes liées à la possession (assurance, entretien, stationnement s’il s’agit d’un véhicule,…), à un souhait de « légèreté » permettant au consommateur d’ajuster sa consommation à son style de vie, à sa mobilité sociale ou géographique. À la possession, « marqueur » d’un certain statut social, de nombreuses personnes, notamment parmi les urbains actifs, préfèrent la souplesse et la garantie d’un accès à l’usage, ajusté en permanence à leurs besoins.

POUR LA SOCIÉTÉ CIVILE
Le fabricant du produit restant son propriétaire tout au long de son cycle de vie, il existe pour le fabricant une incitation à prendre en compte des aspects environnementaux et sanitaires liés au produit, depuis la phase d’extraction des ressources nécessaires à sa production jusqu’à sa fin de vie. Son revenu dépendant non plus du renouvellement de ses ventes mais de l’usage de ses produits, il existe une incitation à concevoir des produits plus durables, plus modulaires et plus facilement maintenables et dont les constituants pourront, in fine, être plus facilement recyclés.
La valeur créée ne dépendant plus du nombre de ventes de produits mais de leur nombre d’utilisations, autrement dit du nombre d’unités d’oeuvre de services rendus et non du nombre d’unités produites, il est possible d’espérer un découplage entre croissance économique et consommation de ressources.
Par ailleurs, l’usage des produits supposant des services d’accompagnement, de formation et de maintenance, induit un potentiel de création ou de maintien d’emplois localisés à proximité des lieux d’utilisation des produits.

4 • EXEMPLES CONCRETS
L’économie de fonctionnalité est un concept relativement nouveau mais qui a déjà fait ses preuves dans plusieurs secteurs d’activité. Sont notamment souvent cités les cas de Michelin, Xerox ou Elis.
Suite à des innovations technologiques sur certains pneumatiques, Michelin a eu des difficultés à faire accepter la hausse des prix de vente. Ainsi, l’idée est venue de ne plus vendre les pneus mais de les louer tout en prenant en charge le cycle de vie du produit chez le client. Michelin s’occupe désormais du gonflage des pneus pour réduire la consommation de carburant, recreuse et rechape les pneus (augmentation de la durée de vie du produit), conseille les chauffeurs en conduite et le client ne paie plus les pneus mais le kilomètre parcouru. Cette nouvelle façon de procéder a permis de faire des économies de carburant, de gestion interne et de coûts (comparaison du coût des kilomètres parcourus et des achats de pneus) pour le client et Michelin a augmenté sa marge en valeur absolue et a pu passer outre la barrière « prix ».
Xerox a, de la même façon, dû faire face à une forte résistance aux prix. A la suite d’une innovation technologique, le prix de vente était devenu un frein à l’achat.
De plus, les appareils en fin de leasing étaient en bon état de marche ou ne nécessitaient que des réparations ou mises à niveau mineures. Jetés, ils étaient un centre de coûts important, alors qu’ils représentaient un stock d’actifs de grande valeur, notamment par les équipements électriques et électroniques qu’ils contenaient. Xerox a donc eu l’idée de rester propriétaire des machines, de prendre en charge leur maintenance mais surtout de faire en sorte que les composants soient facilement remplaçables, réutilisables sur d’autres modèles de machine ou à défaut recyclables. Le client n’achète donc plus la photocopieuse mais bien la photocopie. Xerox a estimé que cela lui avait procuré un surcroît de profit de 200 millions de dollars pour l’année 1999. D’ailleurs ce modèle a été suivi par ses concurrents pour devenir une norme de marché.
Elis, quant à elle, propose un service de location de tenues de travail. L’entreprise a opté dès le début pour un modèle économique basé sur l’économie de fonctionnalité.
Ainsi, les vêtements sont écoconçus (optimisation de la matière première, choix de matériaux plus résistants), l’entreprise prend en charge le service de blanchisserie et de maintenance. D’après le rapport du Grenelle de l’environnement sur l’économie de fonctionnalité, cela permet de diminuer la consommation de détergent, d’eau, de matières premières et d’énergie.
Des PME adoptent déjà le modèle de l’économie de fonctionnalité. C’est le cas par exemple de monjoujou.com qui propose un service de mise à disposition de jouets incluant les services de maintenance, de livraison et de réexpédition et de nettoyage des jouets. C’est aussi le cas de Lucibel qui propose des solutions d’éclairage adaptées aux secteurs industriels ou tertiaires, reposant sur des technologies LED très économes en énergie et intégrant dans son service une étude ergonomique et un ajustement de l’éclairage aux besoins réels des usagers. Lucibel ne vend pas des ampoules, mais bel et bien de la lumière.

5 • HISTORIQUE DE L’ÉCONOMIE DE FONCTIONNALITÉ
Les préoccupations relatives à ce que l’on n’appelait pas encore « développement durable » sont apparues à l’agenda politique en 1968 avec la création du Club de Rome et la publication des rapports : « The limits to growth » et « Factor 4 ».
A la même période, les premiers « Sommets de la Terre » apparaissent. Le premier à Stockholm en 1972, le second à Nairobi en 1982, le troisième à Rio de Janeiro en 1992, le quatrième à Johannesburg en 2002 et enfin à Rio de Janeiro en 2012. Le but de ces sommets était de placer les questions écologiques (économie durable, consommation durable) au rang des préoccupations internationales, mais également de prendre en compte les besoins économiques des pays en développement.
C’est dans ce contexte, où la finitude des ressources devenait un enjeu clairement identifié, qu’a émergé le concept d’« économie de fonctionnalité » ou de « service economy» en anglais, apparu en 1986 à travers les écrits de Walter STAHEL et Orio GIARINI.

Les théories sur l’économie de fonctionnalité s’inscrivent dans un contexte économique et sociétal duquel émergent notamment :
> La finitude des ressources minières et énergétiques…(nécessité de moins gaspiller, d’économiser les ressources, alors que seulement 7% des matières premières se retrouvent dans le produit fini ce qui induit la nécessité d’améliorer la productivité des ressources,…),
> Crise industrielle, outsourcing, délocalisation, mondialisation…,
> Recherche de réduction des coûts…,
> Opposition entre croissance maîtrisée et décroissance (malthusianisme)…,
> Servicialisation des activités, émergence du secteur tiers…,
> Quête de « sens », individuellement et dans les entreprises (revenir au but, au besoin)…,
> Emergence de la notion de RSE (normalisée par l’ISO 26000),
> Présence de plus en plus forte de la valeur éthique dans la société,
> Scandales sociaux dans différentes entreprises de renommée mondiale (exemple de Nike et du travail des enfants).

En 2008, lors du Grenelle de l’environnement, un groupe d’étude autour de l’économie de fonctionnalité a été constitué (chantier n°31). Ce sujet a commencé à émerger en France car il apparaît comme une solution pour aider à concilier économie et écologie.
Depuis cette date, de nombreux rapports, études et ouvrages ont été dédiés à l’économie de fonctionnalité.

POUR ALLER PLUS LOIN…

WEBOGRAPHIE

  • http://www2.ademe.fr/servlet/KBaseShow?sort=-1&cid=17729&m=3&catid=17743&p1=1
  • http://www.club-economie-fonctionnalite.fr
  • http://www.fondationconcorde.com/publications-fiche.php?id=69
  • Fondation Concorde, « L’économie de fonctionnalité : vers un nouveau modèle économique durable ».
  • http://www.inspire-institut.org/attachments/FNH%20HEC%20Goodwill.pdf Combe V., Perier S., Pireyn B.,
  • Richard C., HEC, « Étude prospective sur l’économie de fonctionnalité en France » (2008).
  • www.legrenelle-environnement.fr/IMG/pdf/rapport_final_comop_31.pdf : Étude effectuée dans le cadre du Grenelle de l’environnement « L’économie de fonctionnalité, un plus pour l’environnement ? » Grenelle – Chantier n° 31 – 21 octobre 2008.

BIBLIOGRAPHIE

  • Gaglio G., Lauriol J., du Tertre C., L’économie de la fonctionnalité : une voie nouvelle vers un développement durable ?, Octares Editions.
  • Fromant E., 2012, Les clés du renouveau grâce à la crise ! Economie de fonctionnalité :
    mode d’emploi pour les dirigeants d’entreprise, Éditions EMS 2012.
  • Novel AS, 2013, La vie share – mode d’emploi, Manifesto.
  • Van Halen C, Vezzoli C., Wimmer R., Methodology for Product Service System Innovation How to develop clean, clever and compétitive stratégies in companies.
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Auteur de la page

LAURENT MELLAH

Consultant-Formateur Economie de la Fonctionnalité & Agilité Participative

Modérateur

Philippe Jury

Responsable prospective et relation à la recherche au CIRIDD